L’enfant marche joyeux, sans songer au chemin ; Il le croit infini, n’en voyant pas la fin. Tout a coup il rencontre une source limpide, Il s’arrête, il se penche, il y voit un vieillard.
L’enfant marche joyeux, sans songer au chemin ; Il le croit infini, n’en voyant pas la fin. Tout a coup il rencontre une source limpide, Il s’arrête, il se penche, il y voit un vieillard. Alfred de Musset