Les aristocrates quels qu’ils soient ne sont bons qu’à donner des rêves : il ne faut pas les approcher de trop près. Proust nous confie qu’au bout du compte, si on ne veut pas être déçu par les détenteurs de noms prestigieux tout autant que par des villes fameuses, il vaut mieux feuilleter l’almanach du Gotha et l’indicateur des chemins de fer.
Les aristocrates quels qu’ils soient ne sont bons qu’à donner des rêves : il ne faut pas les approcher de trop près. Proust nous confie qu’au bout du compte, si on ne veut pas être déçu par les détenteurs de noms prestigieux tout autant que par des villes fameuses, il vaut mieux feuilleter l’almanach du Gotha et l’indicateur des chemins de fer. Jean-Marie Rouart