Les comparaisons sont aux yeux de l’âme ce que les verres noircis sont aux yeux du corps. Il est peu d’âmes qui puissent regarder fixement la vérité, comme l’aigle regarde le soleil. Il faut donc adoucir l’éclat de la vérité, en la couvrant d’un léger nuage, et les rayons qui le pénètrent n’en ont que plus d’activité.
Les comparaisons sont aux yeux de l’âme ce que les verres noircis sont aux yeux du corps. Il est peu d’âmes qui puissent regarder fixement la vérité, comme l’aigle regarde le soleil. Il faut donc adoucir l’éclat de la vérité, en la couvrant d’un léger nuage, et les rayons qui le pénètrent n’en ont que plus d’activité. Pigault-Lebrun