Les existences faibles vivent dans les douleurs, au lieu de les changer en apophthegmes d’expérience; elles s’en saturent, et s’usent en rétrogradant chaque jour dans les malheurs consommés.
Les existences faibles vivent dans les douleurs, au lieu de les changer en apophthegmes d’expérience; elles s’en saturent, et s’usent en rétrogradant chaque jour dans les malheurs consommés.
Honoré de Balzac