Les fureurs de la jalousie déchirent alors un cœur trop sensible ; c’est le plus grand tourment de l’amour ; non pas de l’amour physique, mais de l’amour moral.
Les fureurs de la jalousie déchirent alors un cœur trop sensible ; c’est le plus grand tourment de l’amour ; non pas de l’amour physique, mais de l’amour moral. Marie Geneviève Charlotte Thiroux d’ Arconville