Les gens qui ont perdu tout espoir ressemblent à des lieux profanés, à des maisons cambriolées. Un dédale de mises à sac, de lumières éteintes, de portes fracturées. Des courants d’air que rien n’arrête. Du silence et du vide.
Les gens qui ont perdu tout espoir ressemblent à des lieux profanés, à des maisons cambriolées. Un dédale de mises à sac, de lumières éteintes, de portes fracturées. Des courants d’air que rien n’arrête. Du silence et du vide. Marie-Sabine Roger