Les hommes qui parviennent à s’échapper de leur enfance sont toujours des solitaires. Ils n’ont besoin de personne, ils avancent les mains dans les poches, un peu branlants, un peu tremblants, un peu en se raclant la gorge, mais ils avancent.
Les hommes qui parviennent à s’échapper de leur enfance sont toujours des solitaires. Ils n’ont besoin de personne, ils avancent les mains dans les poches, un peu branlants, un peu tremblants, un peu en se raclant la gorge, mais ils avancent. Katherine Pancol