Les ouvriers, on a tort de croire qu’ils ne rêvent que du dernier écran de télé ou du barbecue sur la terrasse du pavillon. J’ai côtoyé ici des gens qui avaient des rêves de fou, ils n’en parlaient pas, c’est tout. J’en suis sûr.
Les ouvriers, on a tort de croire qu’ils ne rêvent que du dernier écran de télé ou du barbecue sur la terrasse du pavillon. J’ai côtoyé ici des gens qui avaient des rêves de fou, ils n’en parlaient pas, c’est tout. J’en suis sûr. Jeanne Benameur