Les pauvres sont habitués à refréner l’expression de leur désespoir, parce que la vie les attend, le travail, les nécessités de tous les jours, de toutes les heures.
Les pauvres sont habitués à refréner l’expression de leur désespoir, parce que la vie les attend, le travail, les nécessités de tous les jours, de toutes les heures. Georges Simenon