Les paysages à vous couper le soufle sont très gênants pour la pensée. On est obligé de s’occuper d’eux, on n’ose pas s’asseoir dessus sans un minimum d’égards.
Les paysages à vous couper le soufle sont très gênants pour la pensée. On est obligé de s’occuper d’eux, on n’ose pas s’asseoir dessus sans un minimum d’égards. Fred Vargas