Les sociétés sans projet deviennent claustrophobes. Conjugué avec l’amnésie et l’inespoir, le tout tout de suite rallume la guerre des mots et la chamaillerie procédurale de tous contre tous.
Les sociétés sans projet deviennent claustrophobes. Conjugué avec l’amnésie et l’inespoir, le tout tout de suite rallume la guerre des mots et la chamaillerie procédurale de tous contre tous. Jean-Claude Guillebaud