Les traces que le souvenir de nos infortunes imprime dans le champ de la vie, sont comme les sillons creusés par la main du laboureur dans un champ cultivé. Sans ceux-ci point de riches moissons, sans celles-là point d’abondantes récoltes pour l’expérience.
Les traces que le souvenir de nos infortunes imprime dans le champ de la vie, sont comme les sillons creusés par la main du laboureur dans un champ cultivé. Sans ceux-ci point de riches moissons, sans celles-là point d’abondantes récoltes pour l’expérience. Félix Bogaerts