Les yeux de l’enfant et ceux du vieillard regardent avec la tranquille candeur de qui n’est pas encore rentré dans le bal masqué ou en est déjà sorti. Et tout l’intervalle semble un tumulte vain, une agitation à vide, un chaos inutile par lequel on se demande pourquoi on a dû passer.
Les yeux de l’enfant et ceux du vieillard regardent avec la tranquille candeur de qui n’est pas encore rentré dans le bal masqué ou en est déjà sorti. Et tout l’intervalle semble un tumulte vain, une agitation à vide, un chaos inutile par lequel on se demande pourquoi on a dû passer. Marguerite Yourcenar