L’esseulement me décède et m’abcède, me claustre et me séquestre, quand la solitude me dépêtre d’un Moi circonstancié en me mettant à nouveau au monde, l’antre ouvert, la peau disponible.
L’esseulement me décède et m’abcède, me claustre et me séquestre, quand la solitude me dépêtre d’un Moi circonstancié en me mettant à nouveau au monde, l’antre ouvert, la peau disponible. Vincent Cespedes