L’excès de l’ordre est le despotisme. L’excès de la liberté est l’anarchie. Or, l’anarchie, qui est le chaos, est le plus méprisable des maux, car elle repose sut la faiblesse et la lâcheté. Le despotisme, au contraire, même comme mal, est moins odieux, car il repose sur la force. C’est par cette même raison que les vices des femmes sont plus répréhensibles que ceux des hommes. Les premiers prouvent de la faiblesse, les autres témoignent toujours d’une certaine force.
L’excès de l’ordre est le despotisme. L’excès de la liberté est l’anarchie. Or, l’anarchie, qui est le chaos, est le plus méprisable des maux, car elle repose sut la faiblesse et la lâcheté. Le despotisme, au contraire, même comme mal, est moins odieux, car il repose sur la force. C’est par cette même raison que les vices des femmes sont plus répréhensibles que ceux des hommes. Les premiers prouvent de la faiblesse, les autres témoignent toujours d’une certaine force. Alexandre Weill