L’histoire est le roman des faits, et le roman l’histoire des sentimens. L’histoire apprend que la vertu n’a rien à gagner avec les hommes ; que sur cent à peine s’en trouve-t-il un vertueux par inclination ; qu’ils sont tous faux, perfides, etc. Le roman nous présente des modèles de fidélité, de droiture.
L’histoire est le roman des faits, et le roman l’histoire des sentimens. L’histoire apprend que la vertu n’a rien à gagner avec les hommes ; que sur cent à peine s’en trouve-t-il un vertueux par inclination ; qu’ils sont tous faux, perfides, etc. Le roman nous présente des modèles de fidélité, de droiture. Claude Adrien Helvétius