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L’homme aime tant l’homme que, quand il fuit la ville, c’est encore pour chercher la foule, c’est-à-dire pour refaire la ville à la campagne.

octobre 13, 2012 Frédérick Jézégou

L’homme aime tant l’homme que, quand il fuit la ville, c’est encore pour chercher la foule, c’est-à-dire pour refaire la ville à la campagne. Baudelaire

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Une pensée sur “L’homme aime tant l’homme que, quand il fuit la ville, c’est encore pour chercher la foule, c’est-à-dire pour refaire la ville à la campagne.”

Esther
octobre 25, 2012 à 3:28
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Le goût du désert se perd.

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