L’homme appelle abstrait ce qui est concret. Ce n’est pas étonnant car ordinairement il confond le devant et le derrière tout en se servant de son nez, de sa bouche et de ses oreilles, c’est-à-dire de cinq de ses neuf ouvertures.
L’homme appelle abstrait ce qui est concret. Ce n’est pas étonnant car ordinairement il confond le devant et le derrière tout en se servant de son nez, de sa bouche et de ses oreilles, c’est-à-dire de cinq de ses neuf ouvertures. Hans Arp