L’homme est entré sans bruit. […] il a marché si doucement que, lorsque trahi par des instruments de pierre indélébiles qui multiplient sa présence, nous commençons à l’apercevoir.
L’homme est entré sans bruit. […] il a marché si doucement que, lorsque trahi par des instruments de pierre indélébiles qui multiplient sa présence, nous commençons à l’apercevoir. Teilhard de Chardin