L’île, pour moi, c’est un cul-de-sac sans espoir, l’endroit qu’on ne peut pas dépasser, après quoi il n’y a plus rien. L’océan, c’est l’oubli.
L’île, pour moi, c’est un cul-de-sac sans espoir, l’endroit qu’on ne peut pas dépasser, après quoi il n’y a plus rien. L’océan, c’est l’oubli. Le Clézio