L’image me suffisait. C’était elle que j’aimais, et la jeune fille réelle ne pouvait m’émouvoir que secondairement, dans la mesure où je trouvais sur ses traits un reflet de l’oeuvre adulée.
L’image me suffisait. C’était elle que j’aimais, et la jeune fille réelle ne pouvait m’émouvoir que secondairement, dans la mesure où je trouvais sur ses traits un reflet de l’oeuvre adulée. Michel Tournier