Lorsque Lucien Gagneron eut vingt-cinq ans, il dut renoncer le cœur crevé à l’espoir de jamais dépasser les cent-vingt-cinq centimètres qu’il avait atteints depuis huit ans déjà.
Lorsque Lucien Gagneron eut vingt-cinq ans, il dut renoncer le cœur crevé à l’espoir de jamais dépasser les cent-vingt-cinq centimètres qu’il avait atteints depuis huit ans déjà. Michel Tournier