Ma pensée n’a aucun intérêt. Elle n’a d’intérêt que lorsque je sers de grands écrivains. C’est un métier. Celui de comprendre les musiques, les rythmes, les silences, bref, l’agencement des mots.
Ma pensée n’a aucun intérêt. Elle n’a d’intérêt que lorsque je sers de grands écrivains. C’est un métier. Celui de comprendre les musiques, les rythmes, les silences, bref, l’agencement des mots. Fabrice Luchini