Ma position de séducteur était telle qu’elle m’amenait à me demander : Qu’est-ce qui pourrait lui plaire ? au lieu de : Qu’est-ce qui me plaît à moi ? L’amour me contraignait à me regarder avec les yeux – imaginés – de l’être aimé.
Ma position de séducteur était telle qu’elle m’amenait à me demander : Qu’est-ce qui pourrait lui plaire ? au lieu de : Qu’est-ce qui me plaît à moi ? L’amour me contraignait à me regarder avec les yeux – imaginés – de l’être aimé. Alain de Botton