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Mais deux corps accolés ne serait-ce qu’une fois ne se défont jamais tout à fait l’un de l’autre. Ils restent joints par une sorte d’envoûtement sacré, par un tutoiement invincible, par une commune maladie de douceur que ni la révolte ni l’oubli ne peuvent guérir.

Mais deux corps accolés ne serait-ce qu’une fois ne se défont jamais tout à fait l’un de l’autre. Ils restent joints par une sorte d’envoûtement sacré, par un tutoiement invincible, par une commune maladie de douceur que ni la révolte ni l’oubli ne peuvent guérir. Henri Gougaud

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Une pensée sur “Mais deux corps accolés ne serait-ce qu’une fois ne se défont jamais tout à fait l’un de l’autre. Ils restent joints par une sorte d’envoûtement sacré, par un tutoiement invincible, par une commune maladie de douceur que ni la révolte ni l’oubli ne peuvent guérir.

  • octobre 12, 2012 à 3:55
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    Et qui semble être là depuis toujours.

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