Mais elle n’avait plus de souffle, plus de voix, et encore moins de raison, elle n’était plus en mesure de penser, elle n’était plus qu’un corps pris d’épouvante devant l’imminence de son anéantissement, et qui luttait instinctivement, en vain.
Mais elle n’avait plus de souffle, plus de voix, et encore moins de raison, elle n’était plus en mesure de penser, elle n’était plus qu’un corps pris d’épouvante devant l’imminence de son anéantissement, et qui luttait instinctivement, en vain. Sylvie Germain