Mais le pire, c’est de se réveiller au beau milieu de la journée dans ce cimetière pour vivants. Personne ne lit, tout le monde bâille devant la télé. C’est le temps des heures flasques, des horloges molles à la Dali.
Mais le pire, c’est de se réveiller au beau milieu de la journée dans ce cimetière pour vivants. Personne ne lit, tout le monde bâille devant la télé. C’est le temps des heures flasques, des horloges molles à la Dali. Mathias Malzieu