Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent – Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons, – De leur fatalité jamais ils ne s’écartent, – Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent – Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons, – De leur fatalité jamais ils ne s’écartent, – Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !. Baudelaire