Mais un fat me déplaît et me blesse les yeux ; Je le poursuis partout, comme un chien suit sa proie, Et ne le sens jamais qu’aussitôt je n’aboie.
Mais un fat me déplaît et me blesse les yeux ; Je le poursuis partout, comme un chien suit sa proie, Et ne le sens jamais qu’aussitôt je n’aboie. Boileau