Malheur à ceux, m’écriai-je, qui se servent du pouvoir qu’ils ont sur un cœur pour lui ravir les jouissances pures qui y germent d’elles- mêmes !.
Malheur à ceux, m’écriai-je, qui se servent du pouvoir qu’ils ont sur un cœur pour lui ravir les jouissances pures qui y germent d’elles- mêmes !. Goethe