Mathieu de Montreuil
Depuis que vous m’avez, je ne vous sers de rien, Ni dans les champs, ni dans la ville Mais toutefois c’est moi qui vous fait plus d’honneur N’avoir pas un homme inutile,
Depuis que vous m’avez, je ne vous sers de rien, Ni dans les champs, ni dans la ville Mais toutefois c’est moi qui vous fait plus d’honneur N’avoir pas un homme inutile,