Maximilien de Robespierre
Eh messieurs, le droit de pétition ne devrait-il pas être assuré d’une manière particulière aux citoyens non actifs ? Plus un homme est faible et malheureux, plus il a de besoin, plus les prières lui sont nécessaires. Eh ! vous refuseriez d’accueillir les pétitions qui vous seraient présentées par la classe la plus pauvre des citoyens !