Mazetto : Vous avez l’air contrarié. Fabio : C’est que le bonheur me rend triste il me force à penser au malheur qui le suit toujours de près.
Mazetto : Vous avez l’air contrarié. Fabio : C’est que le bonheur me rend triste il me force à penser au malheur qui le suit toujours de près. Gérard de Nerval