Misanthrope, je nie farouchement l’être. L’exercice de solitude, en soi, est sain. A partir du moment où on se connaît bien, on vit bien seul avec soi et c’est bénéfique pour le contact avec les autres : on approche l’autre en sachant complètement qui l’on est.
Misanthrope, je nie farouchement l’être. L’exercice de solitude, en soi, est sain. A partir du moment où on se connaît bien, on vit bien seul avec soi et c’est bénéfique pour le contact avec les autres : on approche l’autre en sachant complètement qui l’on est. Kersauson