Mon pauvre coeur se meurt, rongé de sel D’avoir trop longtemps cru qu’on l’aimait Et peu à peu s’émiette et chancelle D’avoir espéré qui le fuyait.
Mon pauvre coeur se meurt, rongé de sel D’avoir trop longtemps cru qu’on l’aimait Et peu à peu s’émiette et chancelle D’avoir espéré qui le fuyait. Maxence Fermine