Mon père disait qu’aimer une personne pour son extérieur c’est comme aimer un livre pour sa reliure. Lorsqu’il y avait quelque mort dans le voisinage : Viens, me disait-il, viens voir ce qu’on aime, quand on aime son corps !.
Mon père disait qu’aimer une personne pour son extérieur c’est comme aimer un livre pour sa reliure. Lorsqu’il y avait quelque mort dans le voisinage : Viens, me disait-il, viens voir ce qu’on aime, quand on aime son corps !. Laure Conan