Montparnasse a gardé son teint de cendre, blafard, taciturne, dépoli, vitreux. Ses pigeons plus englués encore, plaqués au sol par l’atmosphère irrespirable. Affligée d’avoir vu trop de départs, trop d’amour perdu. Être un lieu de séparation, ce n’est pas rose tous les jours. De quoi faire une déprime, une crise de cafard, une attaque de neurasthénie.
Montparnasse a gardé son teint de cendre, blafard, taciturne, dépoli, vitreux. Ses pigeons plus englués encore, plaqués au sol par l’atmosphère irrespirable. Affligée d’avoir vu trop de départs, trop d’amour perdu. Être un lieu de séparation, ce n’est pas rose tous les jours. De quoi faire une déprime, une crise de cafard, une attaque de neurasthénie. Valérie Mazeau