Ne pouvant, à mon grand regret, être l’heureux chien de camionneur qui, du haut de ses colis, à l’abri des représailles, gueule de droite et de gauche à la Société le joli cas qu’il fait d’elle, je me contente d’être né avec des goûts modestes et remercie le Ciel de m’avoir donné, jusqu’à ce jour, le moyen de les satisfaire.
Ne pouvant, à mon grand regret, être l’heureux chien de camionneur qui, du haut de ses colis, à l’abri des représailles, gueule de droite et de gauche à la Société le joli cas qu’il fait d’elle, je me contente d’être né avec des goûts modestes et remercie le Ciel de m’avoir donné, jusqu’à ce jour, le moyen de les satisfaire. Courteline