N’en est-il pas des édifices comme des hommes ? Le temps passe et leur façade se lézarde, le moellon apparaît sous le crépi. Et nous ne sommes plus que des ruines branlantes.
N’en est-il pas des édifices comme des hommes ? Le temps passe et leur façade se lézarde, le moellon apparaît sous le crépi. Et nous ne sommes plus que des ruines branlantes. Fabien Clavel