Nous épions des bruits dans ces vides funèbres ; Nous écoutons le souffle, errant dans les ténèbres, Dont frissonne l’obscurité ; Et, par moments, perdus dans les nuits insondables, Nous voyons s’éclairer de lueurs formidables La vitre de l’éternité.
Nous épions des bruits dans ces vides funèbres ; Nous écoutons le souffle, errant dans les ténèbres, Dont frissonne l’obscurité ; Et, par moments, perdus dans les nuits insondables, Nous voyons s’éclairer de lueurs formidables La vitre de l’éternité. Victor Hugo