(…) nous sommes pauvres, nous, mais, Dieu merci, de toute ma vie vos maris n’ont jamais eu à rougir lorsqu’il s’est agi de recevoir un hôte.
(…) nous sommes pauvres, nous, mais, Dieu merci, de toute ma vie vos maris n’ont jamais eu à rougir lorsqu’il s’est agi de recevoir un hôte. Mouloud Feraoun