O amour ! adorations ! volupté de deux esprits qui se comprennent, de deux coeurs qui s’échangent, de deux regards qui se pénètrent ! Vous me viendrez, n’est-ce pas, bonheurs ! Promenades à deux dans les solitudes ! journées bénies et rayonnantes ! J’ai quelquefois rêvé que de temps en temps des heures se détachaient de la vie des anges et venaient ici-bas traverser la destinée des hommes.
O amour ! adorations ! volupté de deux esprits qui se comprennent, de deux coeurs qui s’échangent, de deux regards qui se pénètrent ! Vous me viendrez, n’est-ce pas, bonheurs ! Promenades à deux dans les solitudes ! journées bénies et rayonnantes ! J’ai quelquefois rêvé que de temps en temps des heures se détachaient de la vie des anges et venaient ici-bas traverser la destinée des hommes. Victor Hugo