O Jalousie, tyran du royaume d’Amour, mets-moi des fers à ces deux mains ! Donne-moi, dédain, la corde du supplice ! Mais, hélas ! par une cruelle victoire, la souffrance étouffe votre souvenir !.
O Jalousie, tyran du royaume d’Amour, mets-moi des fers à ces deux mains ! Donne-moi, dédain, la corde du supplice ! Mais, hélas ! par une cruelle victoire, la souffrance étouffe votre souvenir !. Miguel de Cervantès