Ô ma tristesse, comme tu vas loin pour pleurer ! Tellement loin au point que je te salue quand tu reviens, morte ou vivante, que tu me captures, tôt ou tard, que tu m’inclines.
Ô ma tristesse, comme tu vas loin pour pleurer ! Tellement loin au point que je te salue quand tu reviens, morte ou vivante, que tu me captures, tôt ou tard, que tu m’inclines. Philippe Léotard