Ô mère ! Ô tendre enfant chérie ! plus grande que mon temps, plus grande que l’histoire qui te soumettait à elle, plus vraie que tout ce que j’ai aimé en ce monde. Ô mère ! pardonne à ton fils d’avoir fui la nuit de ta vérité.
Ô mère ! Ô tendre enfant chérie ! plus grande que mon temps, plus grande que l’histoire qui te soumettait à elle, plus vraie que tout ce que j’ai aimé en ce monde. Ô mère ! pardonne à ton fils d’avoir fui la nuit de ta vérité. Albert Camus