Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! – N’ ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? – Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers – Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?.
Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! – N’ ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? – Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers – Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?. Corneille