Ô vous les bienheureuses vestales, – Vous qui dans les langueurs d’un esprit monastique – Ignorez de l’amour l’empire tyrannique – Que vos cœurs sont heureux puisqu’ils sont insensibles – Tous vos jours sont sereins et toutes vos nuits paisibles – Le cri des passions n’en trouble point le cours. – Ah ! qu’Héloïse envie et vos nuits et vos jours !.
Ô vous les bienheureuses vestales, – Vous qui dans les langueurs d’un esprit monastique – Ignorez de l’amour l’empire tyrannique – Que vos cœurs sont heureux puisqu’ils sont insensibles – Tous vos jours sont sereins et toutes vos nuits paisibles – Le cri des passions n’en trouble point le cours. – Ah ! qu’Héloïse envie et vos nuits et vos jours !. Alexander Pope
=== Retour du barde ===
Rejoignant dans l'aurore une belle vestale
À qui j'avais écrit trois cents cartes postales,
Je cours comme un fou sur la départementale,
Envahi d'une joie quasi transcendantale.