Octavio Paz
J’écris sur la table crépusculaire, en appuyant la plume sur sa poitrine presque vivante, qui gémit et se souvient de la forêt natale.
J’écris sur la table crépusculaire, en appuyant la plume sur sa poitrine presque vivante, qui gémit et se souvient de la forêt natale.