Oh ! l’absence ! le moins clément de tous les maux ! – – Se consoler avec des phrases et des mots, – Puiser dans l’infini morose des pensées – De quoi vous rafraîchir, espérances lassées, – Et n’en rien remonter que de fade et d’amer !.
Oh ! l’absence ! le moins clément de tous les maux ! – – Se consoler avec des phrases et des mots, – Puiser dans l’infini morose des pensées – De quoi vous rafraîchir, espérances lassées, – Et n’en rien remonter que de fade et d’amer !. Verlaine