On a le droit de faire toutes les conneries que l’on veut toute sa vie. Se marier, se tromper, divorcer et même de se suicider. Mais au moment de mourir, terminé la liberté. On devient le jouet de forces adverses dont on n’a rien à faire, la morale, le pape, ou des médecins qui ne veulent pas entraver leur carrière.
On a le droit de faire toutes les conneries que l’on veut toute sa vie. Se marier, se tromper, divorcer et même de se suicider. Mais au moment de mourir, terminé la liberté. On devient le jouet de forces adverses dont on n’a rien à faire, la morale, le pape, ou des médecins qui ne veulent pas entraver leur carrière. Benoîte Groult